Ce que je nomme « pretoguês », n’est que la marque de l’africanisation du portugais parlé au Brésil (…). Le caractère tonal et rythmique des langues africaines amenées dans le Nouveau Monde, outre l’absence de certaines consonnes, comme le « r » et le « l » par exemple, sont les signes d’un aspect peu étudié de l’influence noire sur la formation historico-culturelle du continent.
(Lélia Gonzalez, 1988)